Conclusion
Les modèles de prévisions météos ont nettement évolué depuis une cinquantaine d'années et sont encore de plus en plus performants. Les prévisions qui étaient peu fiables il y a plusieurs années sont aujourd'hui de plus en plus précises à très court terme et avec toujours une fiabilité qui progresse à plus long terme. Nous pouvons admettre que les modèles mathématiques ont été une grande avancée dans le domaine des prévisions, de plus, les instruments ont évolué avec la technologie et ont permis une aide précieuse pour les météorologues. Les premiers ordinateurs étaient d'ailleurs destinés à calculer des modèles mathématiques. Les outils étant plus modernes, fournissent des données toujours plus nombreuses, ce qui explique qu'on a toujours besoin d'ordinateurs plus puissants pour prévoir le temps à venir.
Nous pouvons nous demander si il existe encore une marge de progression importante dans le domaine des prévisions, ce qui permettrait de prévenir davantage des catastrophes tel que l'ouragan Katrina en 2005, qui a fait de nombreuses victimes et des dégâts matériels importants. Et par ailleurs, le réchauffement climatique augmente les phénomènes extrêmes et donc le nombre de victimes. Les prévisions seront plus sollicitées mais seront encore plus modernisées pour prévoir la trajectoire d'un cyclone, d'une tornade par exemple.
La météo est encore aujourd'hui une science inexacte, en effet il existe une marge de progression entre les prévisions et la réalité comme nous avons pû le montrer auparavant, avec l'effet papillon, et l'inexactitude des données enregistrées provenant du manque de précision des outils.
"Mais il vaut mieux prévoir avec incertitude, que ne pas prévoir du tout"

On obtient ensuite :
Puis les prévisions que l'on voit à la TV :
